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Par fne85 le 4 Novembre 2020 à 15:13
Le tribunal administratif de Nantes vient de donner raison à FNE Pays de la Loire et FNE Vendée, qui contestaient le refus du préfet de la Vendée de leur transmettre des documents relatifs à la procédure d’adoption, en 2017, de l’arrêté organisant la protection des milieux aquatiques vis à vis des pesticides.
Le tribunal administratif de Nantes
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Par fne85 le 25 Octobre 2020 à 14:59
La société IONISOS exploite une installation nucléaire de base (INB) à Pouzauges. Elle y traite par rayonnements ionisants divers produits pour les stériliser ou pour en modifier l’organisation moléculaire. Les risques pour la sécurité, la santé et la salubrité publiques ou pour la protection de la nature et de l’environnement, inhérents à toute installation de ce type, justifient un encadrement rigoureux et des mesures permanentes de prévention des accidents. Or, un « défaut de culture de sûreté important » dans la conduite de l’installation vient d’être relevé par l’ASN, l’autorité administrative nationale sur laquelle repose le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection.
L'échelle internationale des événements nucléaires (INES) applique une graduation logarithmique aux événements se produisant
dans les installations nucléaires de base (INB) civiles et militaires, ainsi que lors du transport des matières nucléaires.
Elle se fonde sur les conséquences d'un événement à l’extérieur (rejets radioactifs qui peuvent toucher le public et l’environnement)
et à l’intérieur du site (touchant les travailleurs et l’installation elle-même). Elle prend aussi en compte ce qui peut dégrader
des « lignes de défense » de l’installation : systèmes de sûreté, procédures, contrôles techniques... (source : IRSN)votre commentaire
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Par fne85 le 15 Octobre 2020 à 18:38
Le conseil communautaire du Pays de Saint-Gilles a décidé, dans sa séance du 24 septembre 2020, de créer un « groupe de médiation » sur le projet de port de Brétignolles-sur-Mer. Cette décision fait suite au moratoire demandé par les associations et désormais acté par la collectivité. Elle doit permettre d’engager des élus et des représentants de la société civile dans une réflexion partagée.
Mettre à plat les principaux sujets de la controverse qui n’a cessé de croître depuis l’origine du projet,
c'est ce à quoi doit servir le moratoire. (Illustration : Jack Moreh)votre commentaire
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Par fne85 le 3 Juin 2020 à 10:00
Les chartes départementales d’engagement des utilisateurs de pesticides résultent d’un décret et d’un arrêté ministériel du 27 décembre 2019, imposant aux utilisateurs le respect d’une distance minimale de traitement par rapport aux propriétés riveraines. Une démarche de toute façon structurellement insuffisante pour assurer la protection des riverains...
L’élaboration de ces chartes aurait-t-elle pu favoriser une meilleure compréhension entre exploitants agricoles et riverains ? L'occasion s'avère en réalité totalement manquée. Ce qui est proposé ne constitue en effet qu'un rappel de la réglementation, assorti de déclarations imprécises et purement facultatives qui ne changeront strictement rien au problème.
Le document présenté en concertation n’a finalement pas d'autre ambition que de permettre la poursuite de l’utilisation des pesticides selon les mêmes modalités que par le passé, en dérogeant aux distances minimales de sécurité tout en voulant donner l’illusion que les représentants de la profession agricole sont effectivement engagés dans une démarche visant à réduire l’exposition des riverains aux pesticides. Il est à sens unique, en faveur des seuls applicateurs de pesticides.
Les citoyens sont invités à se mobiliser massivement avant le 13 juin 2020 en se rendant sur le site internet de la chambre régionale d’agriculture pour critiquer ces projets de chartes qui constituent un obstacle à une évolution nécessaire de l’agriculture.Une charte négociée par la chambre d'agriculture, signée fin janvier
par les collectivités et par les associations Familles rurales et ADEV,..... et mise en consultation en juin !
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Par fne85 le 29 Mai 2020 à 11:35
Les premières mesures de restriction des usages de l’eau entrent en vigueur en Vendée. Les craintes d’un nouvel été sec se font ressentir, alors qu‘avec le changement climatique, cette situation pourrait devenir la norme.
Pour chaque zone d'alerte, des mesures graduées de restriction des usages de l'eau sont prévues
en fonction de l'évolution d'indicateurs de débit ou de niveau (DDTM / Préfecture de la Vendée).1 commentaire
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